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Un blog pour réfléchir sur le roman Maryse par Francine Noël

La Septième Notation

6/11/2016

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​Je me sens triste pour Maryse, de tout mon cœur. Elle a une relation à problèmes avec les membres de sa famille, surtout sa sœur et sa mère. Son copain s’ennuyait comme s’il avait honte de Maryse parce qu’elle n’était pas une vraie dame. De plus, Maryse ne correspondait pas à la description d’une « femme normale ». Selon Maryse, « Je me manque de style, de classe, je parle trop, trop fort, je crie, je gesticule, je m’énerve, je n’ai aucune retenue… » (page 178). Toutefois, elle oubliait qu’elle était une femme académique, très intelligente et belle.
 
Avant, j’ai eu des copains qui avaient des tempéraments très semblables et se comportaient de la même façon comme Michel Paradis. Ils m’ont traité comme une personne indigne qui ne méritait pas de respect, à cause de ma forte personnalité. Ils ne pouvaient pas m’apprivoiser puisque je n’étais pas une belle animale en cage.
 
Il y a toujours des fortes impressions sur ce qu’une femme de bien se tenir. Ces impressions existent dans ma culture, la société du Canada et autres cultures dans le monde entier. Je veux vivre librement et je veux être fidèle à mes principes. Je désire que Maryse soit heureuse plus tard dans le roman.
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Le Six

5/11/2016

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​À mon avis, Francine Noël nous a montré un portrait de mots très réaliste sur les affaires politiques au Québec en 1969 et 1970. Je ne sais pas de ce qui va passer après, car je n’avais pas encore lu plus de cette pointe. Il y a beaucoup de références à la politique pendant ce temps-là, comme le projet de loi 63 et Commission Bird. Je n'avais aucune idée de ce que c'étaient et j'ai dû les chercher sur Google. Je n’ai pas connu ce qui était le FLQ et je n'en ai pas pris conscience jusqu'à la page 150 où ils ont présenté la loi sur les mesures de guerre en octobre 1970. Pour que je puisse comprendre ce qui arrivait à Maryse et les personnages du livre, j'ai dû faire des recherches.

Honnêtement, je ne savais pas qu'une telle agitation politique existait au Québec. Je suis née et j'ai grandi dans l'ouest du Canada et je n'avais jamais étudié l'histoire de cette époque. Même si nous étions obligés d'étudier quelque chose à l'école, je ne faisais pas attention.
 
Malheureusement, je ne me souviens pas du moment quand le groupe FLQ a été mentionné pour la première fois dans le livre. Je me souviens que Coco Ménard a toujours eu quelque chose à faire avec le FLQ qui était « top secret », comme Coco l’a mentionné deux fois. Bien que le livre soit clairement un livre de fiction, les événements qui sont passés étaient très réels et je ne le savais pas ça jusqu'à maintenant. L'enlèvement par le FLQ a été réel. L'exécution a été réelle. Le 16 octobre 1970, le gouvernement met en place la loi sur les mesures de guerre pour contrer le FLQ pendant la Crise d’Octobre. La loi sur les mesures de guerre donnait plus de pouvoir à la police d’appréhender et niaiser les citoyens, tout sans justifications. C’est difficile d’imaginer si un événement puisse se passer maintenant en 2016.
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Le Numéro Cinq

5/11/2016

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​Avant 2010, je ne comprenais pas qu'il y avait beaucoup de différences entre le français canadien et européen. Une des raisons pour lesquelles j'ai poursuivi une licence de français est pour communiquer avec les membres de ma famille, dont vivent en France et au Québec. Après avoir passé l’été 2010 en France, j'ai découvert que la France et le Canada ont ces différences de vocabulaire. À ma grande surprise, les panneaux stop en France disent « Stop » au lieu de « Arrêt ». La pastèque n'était pas appelée melon d'eau en France et il y en avait bien d'autres.
 
Dans le cadre de mes études, j'ai passé un semestre au Québec pour participer à un programme d'immersion. J'ai aussi découvert que la langue au Québec était très différente de celle de l'Ouest du Canada. Je suis en train de redécouvre ces différences de vocabulaires français dans le roman maintenant. Comme mon expérience au Québec, les personnages du roman ont manières particulières de parler. Francine Noël a écrit pour montrer qu’il y a différences dans la langue que nous utilisons en fonction de nos humeurs aussi. J'ai remarqué la différence dont Marie-Lyre Flouée, une camarade de Maryse, parlait quand elle était calme ou bouleversée au cours de son engueulade avec André Breton, un de ses copains. Ironiquement, leur désaccord était fondé sur les différences entre la langue française en France et au Québec. Comme André Breton, je trouve le joual de Québec très difficile à entendre. 
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Le Quatrième

5/11/2016

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​Je n'ai pas lu plus de 150 pages, mail il est évident que Francine Noël a fait un excellent travail en incorporant quelques situations vraisemblables dans un roman chronique. Jusqu'à présent, je peux comprendre chaque personnage dans le roman car, ils ont des problèmes similaires lesquels dans nos vies réelles. En fait, ces situations sont extrêmement réalistes.
 
Par exemple, les relations ne sont jamais faciles quand vous ne savez pas si votre copain ou copine est très attaché à vous ou non. Je peux me sentir le soulagement que Maryse aurait ressenti quand Michel lui a dit qu'il voulait vivre avec elle dans leur propre appartement. Cela montre également au monde que vous êtes tous les deux un couple. C'est une déclaration très importante.

D’autre part, les relations entre les membres de famille sont peut-être difficiles aussi. Blanche et Françoise sont les mères de Marité et Jean, respectivement. Elles sont très catholiques et veulent que leur petit-fils soit baptisé, mais Marité et Jean ne veulent pas ça. Puisque Marité et Jean se considèrent athées, donc ils ne veulent pas baptiser leur fils. Toutefois, Blanche et Françoise étaient déterminées à baptiser leur petit-fils et l’ont fait en secret.  Quant à moi, la baptême « secret » de leur petit-fils était extrêmement drôle. Je peux voir ma mère faisant quelque chose de semblable dans le cas où elle n'obtient pas ce qu'elle veut.
 
Bref, j’aime ces situations réalistes dans le roman. Il me semble que ce livre donne quelques occasions à réfléchir.  
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La troisième note

12/10/2016

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​Les amitiés et les autres types de relations sont toujours changeants et imprévisibles. Pour cela, nous devons prendre soin de prêter attention à celle qui est importante dans notre vie. Après le départ de François pour la France, Maryse réalise la valeur que François a apportée dans leur relation où elle sent qu'elle peut parler librement avec lui.

Les amitiés, les relations et les connaissances seront toujours intermittentes. Ces relations ne sont parfois pas claires, comme cela entre Coco Menard et Maryse. Il semble qu'ils s’aiment bien mutuellement, dans une certaine mesure. Alors, il semble que Maryse le méprise aussi. J'ai l'impression que nous avons tous éprouvé cela et parfois il est difficile de trouver des liens entre les gens et nous.

​Depuis ils ont changé ses matières principales à l’université, Michel et Maryse ont passé du temps avec des personnes différentes de ce qu'ils avaient à l'origine au début du roman. Maryse raconte son dégoût avec beaucoup de ces nouveaux gens et a du mal à les respecter. C'est un bon rappel de valoriser les amitiés que nous avons maintenant et de laisser notre cœur ouvert à l'avenir pour ajouter plus de bonnes amitiés dans nos vies.
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L'entrée deux

26/9/2016

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Maryse et François me nous rappellent quand nous étions jeunes adultes. Nous apprenions constamment sur l’un l’autre, nous-mêmes et le monde. Nous réfléchissions sur nos expériences passées et contemplions à l'avenir. Nous et nos amis s’étaient entiché de quelqu'un avec une manière irrationnelle, ou nous connaissions quelqu'un qui était une personne comme ça. Nous savions au moins une personne qui expérimentait des drogues, en particulier la marijuana.

​Maryse me rappelle un peu de moi-même, aussi. Ma famille était pauvre. Je n'aimais pas les membres de ma famille et j’avais beaucoup de problèmes avec ma sœur. Après avoir quitté la maison de mes parents, je faisais beaucoup de choses interdites comme Maryse décrit à la page 47 : « elle avait l’impression de transgresser un interdit, de s’affranchir. Cela était d’autant plus étrange qu’elle n’avait rien éprouvé de tel en quittant la maison familiale ou même en faisant l’amour la première fois. » ​Je voulais être ingénieur quand j’étais l’âge de Maryse. Je contemplais souvent de changer mon bac, comme Maryse le pense aussi. J’ai arrêté d'aller à l’université alors, jusqu'à ce que j’aie décidé de devenir enseignante des maths aux lycées. Après avoir étudié éducation depuis trois ans, j’ai changé vers un bac de langues modernes à sa place. J'ai acquis mon permis moto il y a dix ans et maintenant j’ai ma troisième moto. J'ai eu un lézard apprivoisé pendant une courte période. Je voyageais seul aux autres pays. Mes parents sont très mécontents de tout cela, mais je comprends leur point de vue maintenant. Il sera intéressant de voir comment le caractère de Maryse va changer vers la fin du livre.
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Le Premier Chapitre

19/9/2016

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​Il est étonnant comment je puisse réfléchir facilement sur le premier chapitre de ce roman. L’auteur Francine Noël est tellement qualifiée avec l’écriture. Ses mots me donnaient toutes les images détaillées à propos des personnages et ses environnements. Je peux avoir un rapport avec la protagoniste Maryse puisque je suis aussi étudiante et j’ai travaillé comme serveuse plusieurs fois. Bien que j’aie gagnasse la plupart du revenu par les pourboires, je suis d’accord avec le même point de vue de Tit-cul Galipo sur les pourboires. À mon avis, les salaires de serveurs doivent augmenter et il ne doit pas normal à laisser des pourboires. Comme Maryse, j’ai grandi dans une maison avec revenu insuffisant, mais pas autant mal qu’elle. Puisque je suis une femme, je peux rapporter à l’obsession irrationnelle d’adorer un homme. Dans l’ensemble, j’ai trouvé le premier chapitre intéressant à lire.
 
Sur le plan universitaire, le roman est bien choisi pour nous et nos compétences actuelles. En général, la grammaire reflète ce que j’ai appris au cours de français à l’Université de Lethbridge, en particulier de FREN3001. Dans le chapitre, il y avait beaucoup d’exemples d’utiliser correctement les objets directs et indirects. Cependant, il y avait trop de mots que je ne comprenais pas. Tit-cul Galipo parle en argot québecois et je l’ai trouvé un peu difficile à comprendre tout. Je suis d’accord avec ça puisque je dois apprendre plus de vocabulaire par la lecture. Je devrai commencer à écrire une liste de vocabulaire dans une autre section de ce blog pour m’aider à rappeler. Je serai capable de lire les lectures un peu plus vite après certain temps à étudier plus de vocabulaire.
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    À propos de moi

    Je suis étudiante de français, espagnol et mathématiques. J'assiste au cours d'Université de Lethbridge mais j'habite à Calgary, une ville presque de Lethbridge. 

    J'adore manger! J'adore la bonne nourriture! J'aime le thé et le café. J'aime la couleur bleue et rouge écarlate. Les renards et les geckos sont mes animaux préférés. 
    ​

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    September 2016

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